Théo KERG 1909-1993

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Théo KERG 1909-1993

À l’occasion du 20e anniversaire de la disparition de Théo Kerg, le Musée national d’histoire et d’art (MNHA) et le Cercle Cité présentent la première exposition muséale de l’artiste luxembourgeois dans son pays natal. Réparties sur deux sites, les œuvres exposées se complètent et illustrent différentes périodes de l’artiste.

La présentation au MNHA couvre les années 50, décisives pour Théo Kerg. Il travaille dans la capitale française où sa peinture est influencée par les artistes de « l’École de Paris ». Une vingtaine de tableaux réalisés entre 1948 et 1966 témoignent de la position artistique d’après-guerre de Théo Kerg.

En revanche, l’accrochage au Cercle Cité met l’accent sur la grande variété des matériaux et des supports qui caractérisent sa démarche, ainsi que sur le tactilisme, technique qu’il définit comme l’ « animation de la matière », développée depuis le milieu des années 50. Les deux expositions sont enrichies par des documents d’archives, pour la plupart inédits.

La biographie de Théo Kerg témoigne d’un mode de vie international : il voyage beaucoup, s’entoure de personnalités du monde de l’art, de la littérature et de la musique, expose dans le monde entier, souvent aux côtés d’artistes célèbres (Pablo Picasso, Henri Matisse et Jean Fautrier, entre autres) et correspond avec de nombreux intellectuels de son époque (parmi lesquels Léopold Senghor, Jean Cocteau et Michel Seuphor). Il travaille à Paris, Bruxelles, Milan et New York ; de son vivant, près de cent cinquante expositions monographiques lui sont dédiées en Europe et aux États-Unis, et ses œuvres figurent dans plus de deux cents expositions de groupe ainsi que de nombreux salons et biennales.

Or, si l’œuvre de Théo Kerg est largement reconnu à l’étranger, c’est pour la première fois qu’un tel ensemble important de ses œuvres abstraites, réalisées après la Seconde Guerre mondiale soit montré au Luxembourg. Cette première présentation muséale dans son pays natal permet de mieux situer son œuvre dans un contexte historique. Elle est rendue possible grâce aux prêts généreux de plusieurs musées européens de renom (Centre Pompidou, Paris ; Musée de Grenoble ; Museum Ludwig Köln ; Von der Heydt-Museum, Wuppertal) et de collections privées ainsi que du Kerg Museum à Schriesheim (Allemagne) et de la succession de l’artiste.

Par ailleurs, l’église du Saint-Esprit au Fetschenhof-Cents pour laquelle Théo Kerg a réalisé les vitraux et une partie du mobilier, sera accessible au public pendant la période de l’exposition.

 



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